La sociologue et romancière, Zenaba Dinguest, a présenté son deuxième roman intitulé : “Contre vents et marées”, ce samedi, 16 octobre, au Centre d’études et de formation pour le développement (CEFOD). De quoi parle ce roman ?


C’est un roman qui fait jaillir une lumière inexpérée dans le couloir de la mort que Zenaba Dinguest a présenté ce 16 octobre, au Centre d’études et de formation pour le développement (CEFOD).


“Contre vents et marées”, c’est le titre de cet ouvrage qui traite essentiellement de l’amour, de l’humanisme et de l’espoir face à une problématique mondiale très récurrente au cœur de laquelle les femmes sont victimes en Afrique et particulièrement au Tchad.

Ce livre constitué de 141 pages est écrit dans un français simple et facile à comprendre, car l’auteure a utilisé la narration, le dialogue et la descriptive pour faire son message.
Le titre “Contre vents et marées”, signifie en d’autres termes “malgré toutes les difficultés”. Il symbolise la persévérance d’Halima, le personnage principal de ce roman qui, en dépit des situations difficiles et le Vih qu’elle a contracté, a réussi à vivre une vie apaisée.
Ce roman constitué de quatre parties est inspiré des réalités tchadiennes, et on y trouve des noms tchadiens.

A relire:  le livre “Hourriya : un rêve brisé” au cœur d’un échange littéraire


“Contre vents marrées” est un livre qui amène ses lecteurs à croire qu’avoir le Vih/Sida n’est pas une fatalité. “Si une Maxime populaire dit qu’il vaut prévenir que guérir, il faut parfois croire à un lendemain meilleur”, déclare le critique littéraire, Mbernodji Sosthène.