SOCIÉTÉ – « On entendra plus parler de Boko Haram au Tchad ». C’est la quintessence de ce qu’on pourrait comprendre dans la déclaration du Maréchal du Tchad, après l’opération baptisée « colère de Boma », qui aurait permis de neutraliser les éléments de ce groupe terroriste. Mais aujourd’hui, la peur semble changer de camp et le président tchadien change de discours.