Dans une correspondance, l’ex-Inspecteur général d’État, a demandé à réformer les véhicules de son ex-institution au profit des inspecteurs. Idée rejetée par le responsable de la réforme des véhicules administratifs, qui rappelle que l’IGE est dissoute et qu’en plus, les véhicules n’ont pas atteint l’âge de réforme fixé par la réglementation en vigueur.
“En réponse à vos différentes correspondances relatives à la réforme, nous venons par la présente vous informer que la procédure de réforme des véhicules administratifs, est régie par les décrets260/2015 et 260/2019. Ces deux textes énumèrent toute une procédure à suivre en termes de réforme”, rappelle le président de la commission interministérielle de la réforme des véhicules administratifs (CIRVA).
Pour lui, en ce qui concerne l’IGE, elle est dissoute, et que “la plupart des véhicules objet, de demandes de réforme, n’ont pas encore atteint l’âge fixé par la règlementation en vigueur”. En outre, poursuit le président de la CIRVA, est-il important de rappeler que dans la procédure de réforme, lorsque la commission examine le dossier, il est initié un document intitulé (Bon à reformer) que le premier responsable de l’institution valide avant l’approbation de la Commission Interministérielle de Réforme des Véhicules Administratifs (CIRVA).
“Dans votre cas précis, l’Inspection Générale d’Etat n’existe plus car dissoute, donc même si les demandes venaient à être approuvées par la Commission de réforme, il n’y a plus de répondant”, fait-il comprendre à l’ex-Inspecteur général d’État. Il demande par ailleurs à ce dernier d’instruire les services compétents, de prendre toutes les dispositions nécessaires, afin de faire réintégrer les 54 véhicules à la Direction du Parc Automobile Administratif du Secrétariat Général du Gouvernement.