La ministre des Transports a rencontré ce lundi 26 février 2024, les responsables des entreprises des plaques d’immatriculation pour analyser les difficultés auxquelles ils font face en vue d’y trouver de solutions.

Les plaques d’immatriculation sont les choses les plus faciles à modifier de nos jours. Pourtant, ce métal comportant des chiffres qu’on observe sur chaque véhicule constitue un enjeu de sécurité majeur qui est soumis à une codification et un règlement strict.

Dans la dynamique entamée par le ministère des Transports dans l’optique d’assainir le secteur, cette problématique se trouve au centre des préoccupations.

La ministre n charge des Transports, Fatima Goukouni Weddeye et des représentants des différentes sociétés agréées des plaques d’immatriculation ont échangé sur les dysfonctionnements et les difficultés liés à l’exercice de leur métier.

Il ressort de ces discussions que les sociétés d’immatriculation font face à une concurrence déloyale. Les fausses plaques d’immatriculation observées partout dans la ville jouent également sur la sécurité routière de manière globale. « Nous avons entrepris cette rencontre qui va nous permettre de retracer et comprendre vos difficultés et leur trouver des solutions », souligne la ministre.

Elle rassure que son ministère est en train de s’atteler pour faire respecter le règlement en vigueur concernant les plaques d’immatriculation.