La 8e édition du festival international Le Souffle de l’harmattan est lancée, ce mercredi, 15 décembre, à N’Djamena. C’est une initiative de l’Agence littéraire Le Souffle.
C’est sous le thème, « Les bienfaits des TIC dans le travail de l’écrivain » que cette 8e édition du festival international le Souffle de l’harmattan se tient, à la Bibliothèque nationale du Tchad. Ce festival qui a vu le jour en 2014 est un « moment cardinal pour la littérature tchadienne », laisse entendre le directeur artistique de l’Agence le Souffle (initiateur dudit festival), Mbernodji Sosthène, avant de préciser que « c’est un lieu où les écrivains s’expriment pour susciter d’autres prises de parole et l’éclosion d’autres talents ».
Si le vivre-ensemble est un slogan des politiques en cette période, le festival international le Souffle de l’harmattan quant à lui « contribue significativement à cimenter ce vivre-ensemble », affirme Mbernodji Sosthène, car « pour gagner la médaille d’or du bien-être, de l’intellect et de la paix, il faut être l’ami des livres », renchérit le président du comité d’organisation de la 8eme édition de ce festival, Dounia Tog-yangar.
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Durant les deux jours qu’il doit durer, le festival sera agrémenté par la lecture des livres, les prestations artistiques et les conférences débat, articulées autour du thème de ce festival.
Pour honorer son caractère international, la 8e édition du festival le Souffle de l’harmattan a mobilisé une délégation d’écrivains venue du Gabon. Cela pour montrer que « la mission de notre génération est de tisser et de solidifier les ponts de solidarités », d’après Mbernodji Sosthène.
our respecter l’une de ces traditions, la 8e édition de ce festival sera clôturée par la remise des distinctions aux écrivains qui brillent par les œuvres et actions en faveur de la littérature.