La 4ème édition du programme dénommé “Graines de l’avenir” a été lancée ce lundi 15 novembre à l’Ecole nationale supérieure des technologies de l’information et de la communication (ENASTIC).

Cette 4ème édition du programme de la formation dénommée “Graines de l’Avenir” ou “Seeds for the future” porté en partenariat entre le ministère des Postes et de l’Economie numérique et l’Ecole nationale supérieure des TIC (ENASTIC) concerne la formation de 20 étudiants en ligne.

Selon le directeur général de Huawei technologies Tchad, Kong Lingyu Leo, ce programme de formation devrait se tenir en Chine mais depuis l’année passée, à cause des règles sanitaires imposées par la Covid-19, Huawei a opté poursuivre ce programme par une formation en ligne et par une augmentation du nombre des étudiants qui passe de 10 à 20.

« A travers cette formation, Huawei souhaite accompagner le ministère des Postes et l’ENASTIC par la formation des talents tchadiens dans le domaine de l’économie numérique, la découverte des technologies de pointe, la 5G, l’AI (Intelligence artificielle), visite des salles d’exposition et des laboratoires innovants, découverte du patrimoine culturel de la Chine, de son histoire qui est vieille de 5 000 ans et de sa modernisation, bref, des nouvelles découvertes de l’heure », explique le DG Kong Lingyu Leo.

Le directeur général de l’école nationale supérieure des TIC (ENASTIC), Dr Haggar Bachar Salim, souligne que depuis 2018, Huawei organise la formation pour les meilleurs étudiants. « Cette formation vise à renforcer la capacité des meilleurs étudiants de l’ENASTIC mais aussi ceux des autres établissements de l’enseignement supérieur en TIC. Elle illustre de nombreuses actions par lequel Huawei contribue au développement économique du pays ».

Le secrétaire général du ministère des Postes et de l’Economie numérique, Clément Yomondjoum, indique que la technologie de l’information et de la communication est un vecteur de développement pour la nation. « Le ressort sur lequel cette technologie s’appuie, c’est la jeunesse. Pour les pays africains et particulièrement un pays comme le Tchad où à peu près 70 à 80% de la population est jeune, ce n’est que ces jeunes qui peuvent être porteurs de cette expérience à travers le développement de la technologie de l’information », accentue-t-il.