L’ordonnance portant création des Unités administratives et des Collectivités autonomes est signée le 07 août 2018, par le chef de l’Etat Idriss Deby Itno. Désormais, les unités administratives et collectivités autonomes sont subdivisées en 23 provinces, 95 départements et 365 communes.
La nouvelle organisation administrative est entérinée suite au Conseil des ministres, tenu le 26 juillet 2018. Selon l’ordonnance qui institue cette organisation, la ville de N’Djamena est une province à statut particulier et est régie par un texte spécifique. En outre, les provinces sont administrées par les gouverneurs et les départements par les préfets.
Les statuts et les attributions des chefs des unités administratives sont fixés par décret pris en Conseil des ministres. Aussi, il faut le préciser, les limites territoriales des provinces sont celles des anciennes régions et, celles des départements et communes sont fixées par décret pris en conseil des ministres, selon l’ordonnance.
Voici la liste des unités administratives et collectivités autonomes :
Djimhotombaye
Mais dans tout ça. Je ne vois nul part la sous préfecture de DONO MANGA. JE demande des éclaircissements.
Gérard MARE
C’est bien de repartir ainsi à mon avis je souhaiterai qu’on condense les provinces pour faciliter la gestion administrative.à l’exemple de moyen chari et mandoul.sinon malversations financières ne manquera pas.
yankalain
ça ne sert à rien du tout d’avoir une vingtaine de provinces. revenons à l’ancien decoupage pour économiser de l’argent au lieu de faire des decoupages fantaisistes basés sur la geopolique.
Sobserba Tehalet
A force de multiplier les provinces,les départements, les sous préfectures, on augmente en même temps la charge de l’Etat et finalement pas de recettes mais trop de dépenses.
OUANG -YANG LAOUNA
je pense que le Tchad doit prendre une bonne trajectoire. quand on passe d’une republique à une autre c’est pas pour des plaisirs. sachons qu’il reste à faire, beaucoup à faire. pourquoi y’a t’il des disputes? pour mieux gerer les choses le Tchad doit adopter l’approche participative inclusive et non de folclore. attenuons les problemes des conflits eleveurs-agriculteurs dans nos campagnes et pheriques.