L’équipe organisatrice du festival Ndjam Vi 2022, a fait une descente au Centre culturel Koulsy Lamko où vivent plus de 150 sinistrés, pour faire un don de vivres et non-vivres. C’était ce jeudi, 24 novembre.

Le festival Ndjam Vi 2022, ce n’est pas seulement la musique, c’est aussi l’humanitaire. Et c’est justement ce que renseigne son thème : «L’art au service de la cohésion sociale». Ce jeudi, 24 novembre, pour joindre l’acte à la parole, l’équipe organisatrice de ce festival, avec à sa tête son directeur artistique, Nguinambaye Manassé, s’est rendue au quartier Atrone, dans le 7eme arrondissement pour faire un don aux victimes d’inondations. C’est au centre culturel Koulsy Lamko, transformé par son directeur, Gangnodji Jean Kalvin, en un camp d’accueil des sinistrés que la cérémonie s’est déroulée.


Pour ces plus de 150 âmes qui vivent dans ce “camp”, l’équipe de Ndjam Vi a remis des vivres et non-vivres, constitués des céréales, des pâtes et de détergents.


«La remise de ce don, c’est simplement pour témoigner combien l’art est au service de l’humanité», dit le directeur artistique du festival Ndjam Vi, Nguinambaye Manassé qui a aussi féliciter et encourager l’acte posé par la Compagnie Hadre Dounia, en accueillant ces sinistrés.


En recevant ce don, Gangnodji Jean Kalvin, souhaite que ce geste ouvre la porte afin qu’on écoute davantage les artistes et de leur venir en aide.


Depuis leur accueil dans ce centre, leur nourriture, leur eau et l’électricité sont à la charge de la compagnie Hadre Dounia, jusqu’à ce jour où l’équipe de Ndjam Vi a décidé de l’appuyer.