Suite à des accusations de prélèvement d’organes portées contre son personnel, les responsables de l’hôpital de la Renaissance de N’Djaména se défendent qualifiant ces accusations des affirmations mensongères visant à salir l’image de cette institution hospitalière. Dans son démenti, M. Gustave Bassanguen explique que, l’hôpital de la Renaissance est l’un des établissements sanitaires les mieux équipés de la sous-région. Il emploie de médecins de grandes qualités, qui ont fait leurs preuves au Tchad, dans d’autres pays d’Afrique et en Europe, insiste-t-il.

La nouvelle a fait réagir aussi au ministère de la Santé dont le secrétaire général Hamid Djabar, martèle qu’au Tchad, aucune autorisation n’est délivrée aux formations sanitaires pour prélever des organes lors des opérations chirurgicales ajoutant que le prélèvement d’organes est interdit.

La nouvelle de prélèvement d’organes à l’hôpital de la Renaissance est partie comme une trainée de poudre sur la toile. Des internautes ont évoqué qu’un prélèvement se faisait dans cet hôpital.