Le Camojet, à travers un communiqué de presse, dénonce et condamne l’acte de barbarie causé par les forces de l’ordre sur les étudiants et enseignants lors de la manifestation du 10 février sur les sites universitaires de Toukra et d’Ardepdjoumal.

Selon le communiqué, les étudiants sont en droit de manifester car les œuvres universitaires qui devraient être renforcées avec la suppression de la bourse ne le sont pas.

Le Collectif des associations et mouvements des jeunes du Tchad (Camojet) interpelle les  autorités en charge de la sécurité sont interpellées à mettre le glas sur  ces différentes techniques de répressions en vers « ces futurs cadres » du pays réprimés comme des délinquants.

Le Camojet demande justice pour toutes les victimes de cette bavure policière et une libération immédiate des étudiants détenus et apporte tout son soutien aux étudiants et enseignants pour le respect de leurs droits.