L’association des jeunes arc-en-ciel pour la stabilité sociale en Afrique (AJASSA) a célébré la fête des mères ce 29 mai à la Maison de la femme. Une cérémonie parrainée par le ministère de la Femme, de la Famille et de la protection de la petite enfance.


La fête des mères est célébrée dans le monde le dernier dimanche du mois de mai de chaque année. cette année, l’AJASSA partage la joie avec les mères le 29 mai 2021. Engagée en faveur de la paix et de la stabilité, l’AJASSA célèbre la femme sous le thème : “le cri d’une mère pour la paix et la stabilité durable dans la nation”. À la maison de la femme la cérémonie s’est soldée par des remises de cadeaux aux participants.


Le but de cette fête est d’invoquer la présence de Dieu par la voix des mères tchadiennes et de voir sa gloire manifestée dans la vie des Tchadiens et restaurer l’amour, la paix et la stabilité durable dans la nation. Car l’instabilité et la crise dans ce pays ne laissent indifférent personne.


Ainsi, Chérif Allachi Galma, directeur général technique de l’action sociale et de la famille, représentant la ministre de la Femme souligne que Dieu ne reste pas sourd au cri d’une mère ; ” Nous savons tous que l’amour est au dessus de tout; ne laissons pas notre passé et les blessures internes nous entraîner à la chute, dans le désespoir et pensons à notre futur glorieux. Par la voix de la femme, mère de l’humanité, nous croyons que le bon Dieu écoutera le cri de coeur de ses enfants et nous restaurera cet amour, paix et stabilité espérée”.


A cette occasion, les femmes sont habillées avec des pagnes spécialement faits pour les mères. La présidente du comité d’organisation Mme Yadoumbi Ekani Élise explique la raison de cette jouissance en ces termes : ” En cette période où la conjoncture économique et la disparition brusque du Maréchal, nous font vivre la panique et la peur, nous attirons une fois de plus l’attention de la maman qui est la mère de l’humanité, la protectrice pleine d’amour à réveiller ce trésor caché en elle, qui est grain du plaidoyer divin pour crier à celui qui nous a créé”.


Le président de l’AJASSA, Mbaïramadji Désiré de conclure que l’invocation divine en cette circonstance est la solution favorable et tant qu’une mère décide pour son enfant personne ne peut dire le contraire.