Le 23 mars dernier, le gouvernement a ordonné la fermeture de tous les commerces non alimentaires. Une décision prise pour éviter les attroupements afin de limiter la propagation du Covid-19. Toutefois, certaines commerces non alimentaires mais pas moins importants ne devraient pas être fermés.

  • Les boutiques cosmétiques

Dans ces commerces, il est question de la vente des produits de beauté. Certes, en ce moment de Covid-19, il est conseillé de rester chez soi, mais n’empêche de prendre soin de son corps. Rester à la maison et bien prendre soin de soi, c’est ce qui devrait se faire. Les boutiques cosmétiques nous permettent de nous procurer des savons, des laits de beauté, des parfums… pour la bonne forme. Les responsables de ces commerces peuvent juste fixer le nombre d’entrée. Cela ne peut faire l’objet d’attroupement.

  • Les librairies/papeteries

Beaucoup d’activités sont au ralenti, les lieux d’apprentissage sont fermés. Les élèves doivent suivre des cours en ligne, sur les écrans et à la radio. Aussi, ils doivent prendre des notes pour étudier. Ces apprenants ont besoins des documents tels que les livres, cahiers etc. Mais, la réalité est différente. Ni eux, ni les parents ne peuvent acheter ces effets leur permettant d’étudier, vu que les librairies, papeteries et tous les points de vente du genre sont fermés.

  • Les pressings

Certains vêtements nécessitent le pressing. Le lavage au pressing est moderne. Ce coin ne fait pas l’objet d’attroupement. La personne intéressée dépose ses habits dans un sac et revient plus tard avec son reçu.

  • Les quincailleries

Rester à la maison peut susciter des idées pour aménager autour de soi. Nettoyer, construire ou reconstruire chez soi nécessite quelques matériaux notamment des raclettes, balaies, pelles, peintures, ciments…

  • Les boutiques de vente des pièces détachées

Vu que le Tchad n’est pas encore placé sous confinement total, la population circule encore. Elle a besoin d’attacher des pièces pour réparer les engins.