Aujourd’hui 20 novembre, est célébré le 29ème anniversaire de la Convention relative aux droits de l’enfant. A cette occasion, la ministre de l’Aménagement du Territoire, du Développement de l’Habitat et de l’Urbanisme, Mme Achta Ahmat Bremé, assurant l’intérim de sa collègue de la Femme, de la Protection de la Petite enfance et de la Solidarité a fait une déclaration à la veille. L’édition 2018 est placée sous le thème « les enfants prennent les commandes ».

Le Tchad à l’instar des autres pays du monde fête ce jour 20 Novembre l’anniversaire de la Convention de New York relative aux droits des enfants, adoptée en 1989 par l’Assemblée générale des Nations Unies. Le thème de cette année vient au moment où le Tchad entame d’importantes mutations avec plusieurs réformes institutionnelles qui traduisent la volonté des plus hautes autorités du Tchad dans la vision 2030.

La ministre   de l’Aménagement du Territoire, du Développement de l’Habitat et de l’Urbanisme, Mme Achta Ahmat Bremé, dans sa déclaration s’est réjouie dans un premier temps, des efforts des Tchadiens de tout bord pour la cause des enfants. La date du 20 Novembre marque sur le plan international un pas décisif dans la promotion et la protection des droits des enfants.

Plus loin, Mme Achta Ahmat Bremé signifie que la signature de la ratification de la Convention est une preuve de l’engagement des autorités tchadiennes à œuvrer pour traduire sans conditions les idéaux de cet instrument international. C’est le cas notamment à travers l’harmonisation des contextes juridiques nationaux et la réalisation des actions qui contribuent à l’amélioration des conditions de vie des enfants.

Pour la ministre de l’Aménagement du Territoire, du Développement de l’Habitat et de l’Urbanisme, la protection des droits de l’enfant doit être une priorité car le non-respect de ces droits entraîne des violations relatives au droit du vivre dans le milieu familial, au droit de la santé, au droit à l’éducation, du droit  à la survie et au développement.

Elle encourage tout le monde à s’investir dans la promotion des droits des enfants. « Le travail est certes très difficile mais il n’est pas impossible d’atteindre nos objectifs, à condition que chacun s’y implique et prenne en considération les attentes de nos enfants » conclut-elle.