Le président de la Coalition des Associations de la Société Civile pour l’Action Citoyenne (CASAC), M. Mahamoud Ali Séïd, constate par un point de presse, donné cet après du mardi 28 février 2017, à la rue de 40 mètres, que « ces derniers temps, un comportement relativement puéril et injustifiable de certaines centrales syndicales ». Pour la CASAC, « ces agitateurs qui prétendent à tort défendre les intérêts des travailleurs, versent l’opprobre sur l’image du Tchad, en filigrane participent à une campagne d’intox, de calomnies et de désinformations ourdie par les ennemis de la paix ». Sinon s’interroge le président de la CASAC, comment comprendre que des centrales syndicales appellent souvent les travailleurs à la grève, en se basant sur des revendications unilatérales contestables, à tout point de vue. « Le Tchad comme les autres pays du monde, traverse une crise économique circonstancielle. Nos syndicalistes doivent comprendre cette situation, et éviter de jeter l’anathème et le discrédit sur la marche irréversible de notre pays vers l’apogée de sa construction. Notre pays a besoin de stabilité pour poursuivre son développement, alors, il devenait conséquemment impératif pour tout un chacun, de prendre ses responsabilités en mettant les intérêts suprêmes la Nation au-dessus de ses intérêts, de surcroît matériels » appelle M. Mahamoud Ali Séïd. À cet effet, le président de la CASAC, rappelle à l’opinion nationale et internationale, que « son organisation ne restera jamais indifférente face aux ennemis de la paix, qui utilisent des tribunes inadéquates et injustifiables pour assouvir les intérêts malsains de certaines officines, tapis dans l’ombre, et qui ont pour leitmotiv la destruction du Tchad ». Car, observe-t-il, certaines centrales syndicales font de la politique par effraction. M. Mahamoud Ali Séïd, se dit persuadé que le vrai Tchadien, avancera comme un seul homme derrière l’homme de la paix, le président de la République Idriss Déby Itno. « C’est le lieu de rappeler à la responsabilité collective de tout un chacun, nul, nul n’a le droit, même sorti des cuisses de Jupiter, d’appeler à la grève, si vraiment cette dernière n’a pas sa raison d’être. La grève est un droit légitime certes, mais sorti de son contexte, nuira directement aux acquis multiformes dont bénéficie le Tchad » martèle le président de la CASAC.

Cependant, concernant, les agitations des étudiants de ces derniers jours, la CASAC trouve inadmissible et inacceptable ce comportement des jeunes étudiants, qui pour des diverses et variées raisons, perturbent l’ordre public établi. M. Mahamoud Ali Séïd conseille aux étudiants de se soucier de leur devenir académique et professionnel au lieu de passer des temps à multiplier le nombre d’années élastiques.

Dans tous les cas, la CASAC appelle surtout les centrales syndicales et aux étudiants de se ressaisir, et d’éviter le jeu de chantage. Car déclare son président : « le contraire serait totalement inacceptable pour la majorité des Tchadiens ». Pour le président de la CASAC, l’heure est venue, pour les vraies patriotes, de prouver à la postérité Trans générationnelle. Il rassure par ailleurs du soutien de son organisation à toutes les actions nobles et méritoires posées par le chef de l’État Idriss Déby Itno et s’opposer face aux « ennemis de la Nation, qui ambitionnent hélas de freiner l’élan de paix et de construction du Tchad ».