L’Agence de développement économique et social (ADES) et le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD ), en collaboration avec la Haute autorité des médias et de l’audiovisuel (Hama) forment une quarantaine de journaliste sur la paix et la cohésion sociale au Tchad.




Ils sont au total une quarantaine de journalistes de différents organes, publics et privés à se faire former. Une formation axée sur la prévention des conflits, la promotion de la paix et de la cohésion sociale au Tchad.


La formation a pour objectif d’outiller ces journalistes afin de contribuer à la promotion de la paix et la coexistence pacifique pendant la période de transition. Pour le ministre en charge de la réconciliation nationale, Acheikh Ibn Oumar, au regard des enjeux liés au contexte politique et sociale du pays, les journalistes doivent jouer un rôle essentiel, celui de sécuriser le tissu social qui demeure fragile. “Ils ont un rôle essentiel non seulement pour l’information mais pour la sensibilisation et la conscientisation du public”.

“Cette formation intervient dans le cadre de la transition, une période importante pour le pays”, a ajouté le directeur général de l’Agence de développement économique et social (ADES), Abdelhakim Tahir.


Le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), partenaire de cette formation a exprimé son intention d’accompagner le gouvernement dans la transition en évoquant le rôle des média. “Aucun processus de transition ne peut réussir si les médias ne jouent aucun rôle”, a indiqué Yaya Bah, le représentant résident du PNUD au Tchad.

La formation durera trois.