A l’occasion du lancement du mois du livre et de la lecture, ce 02 novembre, à la bibliothèque nationale, par le ministre du Développement Touristique, de la Culture et de l’Artisanat, Patalet Géo, le coordonnateur général de la Maison des patrimoines culturels du Tchad, Dr Arnaud Dingammadji, est revenu sur les innovations apportées à ce rendez-vous culturel.  

Du 02 au 30 novembre, le livre est à l’honneur. Plusieurs activités culturelles vont être organisées dans des lycées, universités, centres culturels, médias, etc. Selon le coordonnateur général de la Maison des patrimoines culturels du Tchad (MpcT), Dr Arnaurd Dingammadji, depuis l’organisation de cet évènement par sa structure, plusieurs améliorations ont été faites. « En 2019, lorsque nous avions reçu le mandat d’organiser sa troisième édition, le mois du livre et de la lecture ressemblait à une chenille dont la sphère de rayonnement ne se limitait qu’à la capitale. A force de lui apporter des améliorations successives, nous en avons fait aujourd’hui, un papillon capable de rayonner sur nos vingt-trois provinces », confie-t-il.

Dr Arnaud Dingammadji indique aussi que si hier, il n’y avait qu’un seul prix à décerner, il y en a trois aujourd’hui, parmi lesquels, un est ‘’exclusivement” dédié à encourager les plumes féminines. “Si hier, le mois du livre et de la lecture ne se limitait qu’à la valorisation de la littérature tchadienne d’expression française, aujourd’hui notre littérature d’expression arabe est également montée au bord du train », se réjouit-il. Dr Arnaud Digammadji déclare qu’il reste à faire autant pour la littérature tchadienne en langues nationales.

En fin de compte, Dr Arnaud Dingammadji, ambitionne faire de ce mois, un événement de ’’grande portée nationale et internationale ’’.