L’hippodrome de N’Djamena, situé derrière le stade Idriss Mahamat Ouya, dans le 3ème arrondissement, en plus de servir à la course des chevaux, était surtout un grand centre de sport pour les jeunes.

Mais depuis quelques années, cet espace appartenant autrefois au gouvernement libyen a été réattribué à la Turquie et clôturé en vue de la construction d’édifices d’utilité publique, privant les jeunes d’un espace de divertissement.

Après une rencontre ce jour avec le maire de N’Djamena, le ministre en charge de la jeunesse et des sports, Mahmoud Ali Seid annonce que dans les très prochains jours, cet espace sera mis à la disposition des jeunes et particulièrement les pratiquants du sport.

“Nous allons ainsi répondre favorablement à la demande incessante des amoureux du sport qui désirent un espace de divertissement et de pratique pour leurs disciplines”, justifie-t-il.