Fin, ce mercredi, 17 mars, de l’atelier d’évaluation de l’état d’avancement des projets de modernisation des infrastructures de communications électroniques et de la dorsale transsaharienne, dans un établissement hôtelier de N’Djaména.


Cet atelier de deux jours a permis aux 180 participants d’identifier les problèmes qui menacent l’état d’avancement de ces deux projets.
Le premier qui est la modernisation des infrastructures de communications électroniques a reçu un financement à hauteur de 189 millions de dollars US, de la République populaire de Chine.
Comme contraintes à son avancement , “Il a été relevé la difficulté d’identifier la route principale de l’axe Singako, Tchiona, Am-Timan, Goz-Beida et l’inaccessibilité de celle-ci durant la saison de pluie”, a déclaré le directeur général du ministère des Postes et de l’Economie numérique, Yonoudjoum Clément.

Le second projet a reçu un financement de 30 millions d’euros, de la part de l’Union européenne, dont l’administration et le suivi pour l’exécution de ce projet est assuré par la Banque africaine de développement (BAD).

A l’issue de cette rencontre, vingt recommandations ont été formulées par les participants. Parmi celles-ci, le recrutement et la formation des ingénieurs et techniciens du groupe SOTEL, aux nouvelles technologies ; la réactivation des travaux du projet de la dorsale transsaharienne.
En clôturant les travaux, Yonoudjoum Clément, lancé un appel à chaque acteur impliqué dans la réalisation de ces projets à s’investir davantage pour leur réussite.