A quelques heures de la célébration de la fête de Noël, le prix de certaines denrées alimentaires sont en hausse, comme à l’accoutumée.

Les ménages N’Djamenois sont obligés. Les couches les plus démunies se forcent à faire tout pour donner le sourire aux enfants pour les fêtes de fin d’année. A moins de 24 heures de la célébration de Noël, le prix de certaines denrées alimentaires est élevé.

Dans quelques marchés de la capitale, N’Djamena, un gros poulet est vendu à 6 500 voire 7 000f. Un poulet moyen est vendu entre 3 000f et 4 000 f. La nativité et la Saint Sylvestre à N’Djamena, c’est aussi la viande, chair des animaux : chèvre ou mouton. Les moutons sont vendus aux  abords de grandes voies. Le petit mouton est liquidé entre 20 000F à 30 000f. Un mouton à la taille moyenne tourne autour d’une somme de 40 000 voire 50 000F.

Œuf et huile ne sont pas en reste

Certains ingrédients servant à préparer des gâteaux et cakes ont connu une légère hausse de prix. C’est le cas des œufs. Un plateau qui se vendait à 2500f est passé à 3000f sur les marchés. Le prix de l’huile reste toujours en hausse depuis les six derniers mois : 1 litre à 1250f au marché. Aux quartiers le litre est vendu à 1500F. Autrefois, le litre d’huile est vendu entre 750f à 800F. Seul le prix de la farine est resté constant.  Un coro est vendu à 1250F. Et le sac est à 21 500f.