De plus en plus, des Tchadiens infligent des actes de torture à leurs semblables. A l’intervalle de trois mois, plus de trois cas ont été dénoncés sur les réseaux sociaux.

Il y a le cas d’Oumar Hissein qui a été séquestré et a succombé à la suite des violences. Et, une vidéo montrant une dame fouettée par des agents des forces de défense et de sécurité a provoqué l’indignation sur la toile. Pourquoi cette recrudescence de violence ? La parole est donnée aux défenseurs des droits de l’Homme et aux citoyens.

Chaque année, environ 300 femmes sont violentées à N’Djaména, selon l’Association des femmes juristes du Tchad. Mais on assiste très souvent à un certain laxisme de l’appareil judiciaire.

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