L’ONG Acra et ses partenaires ont présenté ce matin, les résultats du projet de formation professionnelle des jeunes et leur insertion socio-professionnelle dans la ville de N’Djaména.

Ce projet, indiquent ses initiateurs, vise à contribuer à « corriger » le déficit de capital humain, « un des principaux obstacles » au développement des opportunités de l’employabilité des jeunes dans des « secteurs promoteurs » comme l’écoconstruction et l’énergie renouvelable.

« Le choix de la chaine de valeur de l’écoconstruction solaire n’est pas fortuit. Car le Tchad s’est engagé à atteindre les objectifs de développement durable  par l’adaptation aux changements climatiques et la conservation de la biodiversité »,  souligne le coordonnateur dudit projet, Dario Vicchi.

Depuis décembre 2019, l’ONG Acra et ses partenaires ont formé plus de 800 jeunes, dont des migrants, dans des domaines tels que l’électricité, l’entrepreneuriat, le carrelage, l’écomaçonnerie. Certains sont déjà sur le marché de l’emploi.

Il est attendu des micros, petites ou moyennes entreprises (MPME) formelles et informelles du milieu urbain de N’Djaména ayant acquis des compétences  d’améliorer les opportunités d’emploi dans les secteurs précités.