Après la grâce présidentielle accordée à 380 rebelles du Front pour l’alternance et la concorde au Tchad, la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), exprime sa satisfaction tout en déplorant que les chefs du groupe rebelle ne soit pas inclus.

Dans un communiqué de presse publié, ce lundi, 27 mars, la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), dit accueillir avec satisfaction la nouvelle de la grâce présidentielle accordée, le 25 mars à 380 rebelles du Front de l’alternance pour la concorde au Tchad.

La CNDH salue cet acte courageux et félicite cette main tendue par le président de la transition, Mahamat Idris Déby Itno. En même temps, elle déplore que cette grâce présidentielle ne concerne pas les dirigeants des ex-rebelles, condamnés pour la prison à perpétuité.

Le communiqué estime qu’un tel acte devrait aussi pouvoir être élargi à certains jeunes encore incarcérés suite aux événements du 20 octobre.