SOCIETE: Des flaques d’eaux souillées, des odeurs nauséabondes, des caniveaux débordés, telles sont les images des grands marchés de la capitale. Tout se passe au su et au vu des agents de la mairie.

A l’entrée Est du marché à mil et tout au long du mur séparant le marché et la ruelle où se trouvent les vendeuses des légumes, l’odeur est insupportable. Pour y accéder, il faut tirer ses habits, mieux, reculer pour bien sauter. Histoire d’éviter d’être sali par ces eaux dont les odeurs donnent du vertige. Les passants, sont obligés de ralentir motos et véhicules pour traverser sans difficultés. Dans les parages, les activités économiques se poursuivent de plus belle. Le même constat est fait au grand marché, devant l’hôpital Chérif Kasser. Les femmes commerçantes qui sont aux alentours se disent dépasser et ne savent quoi faire.

Pourtant, dans ces zones, les agents de la mairie sont fortement présents. Mais ils ne s’occupent que de leur ”business”.