Comme la plupart des sociétés africaines, celle tchadienne est de type phallocratique où l’homme reste le seul être dominant. Souvent, quand il s’agit de prendre une décision concernant les enfants dans une famille, l’on a tendance à prioriser le garçon. Chez les femmes veuves, la situation est encore pire. Il faut savoir que ce poids de la tradition qui pèse sur le sexe féminin est aussi la même en matière de partage d’héritage. Du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, les avis restent divergents. D’un côté,  la fille ou la femme n’a pas droit à l’héritage ; de l’autre elle a droit à la moitié de ce que le garçon reçoit comme héritage.

Entre ce privilège pour les uns et une discrimination pour les autres, votre site Tchadinfos.com s’intéresse à ce sujet et vous propose un dossier y relatif.