MESSAGE – Le Tchad est l’un des pays au monde qui accusent un taux de mortalité maternelle très élevé. Les données actuellement disponibles qu’il y a 860 décès maternels pour 100.000 naissances vivantes et 34 décès néonataux pour 1.000 naissances vivantes. Pour réduire ce taux élevé, le Tchad a mis en œuvre entre 2017 et 2019 le « Projet de renforcement des services de santé maternelle et infantile » (PRSSMI), un projet financé par la Banque mondiale.

En mars 2019, le gouvernement tchadien et la Banque mondiale ont encore convenu d’un nouveau projet dénommé « Projet de renforcement de la performance du système de santé » (PRPSS) qui vise huit (8) provinces.  

La gestion inappropriée des déchets biomédicaux constitue un risque non seulement pour l’environnement mais aussi un risque pour la santé (le personnel des centres de santé, les populations fréquentant les structures sanitaires, mais aussi pour les agents chargés de la collecte des déchets, etc.). Le plan de gestion des déchets biomédicaux (PGDBM) qui est un instrument qui oriente la mise en œuvre du projet comme palliatif aux impacts négatifs et aux risques liés aux déchets des soins médicaux. Le PGDBM est destiné à veiller à la minimisation des risques pour assurer la performance environnementale et sociale liée à la gestion des déchets biomédicaux dans les structures sanitaires de la zone d’intervention du projet.

MESSAGE