“On ne peut pas être traîné en justice et gardé à vue parce qu’on a organisé ou soutenu une manifestation. Autant j’ai toujours dénoncé les brutalités policières, autant je désapprouve la Justice dans ce cas. C’est un mauvais signal pour notre démocratie”, écrit sur son compte Twitter Saleh Kebzabo.

Le président de l’Union nationale pour le développement et le renouveau (UNDR) réagit ainsi à l’audition puis la mise en garde à vue de Barka Michel, Dr Sitack Yombatina Béni et Martin Félix Kodjiga, des leaders de la coordination des actions citoyennes Wakit Tamma.

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