« Le candidat recalé est un député, il est donc supposé avoir participé à l’élaboration du code dont il feint d’ignorer les dispositions, on dit dans notre jargon qu’il est présumé partager nemo auditur turpudinem proprio allegans ». Tels sont les propos du président du Conseil Constitutionnel Nagoum Yamasoum ce matin lors de sa mise au point suite aux déclarations Ngarleji Yorongar le dossier a été rejeté.
Selon Nagoum Yamassoum, le dossier du candidat ne comportait pas deux pièces indispensables à savoir : « l’emblème choisi pour l’impression du bulletin et la photo d’identité du candidat ». Le président du Conseil constitutionnel précise que, le candidat a bel et bien fourni dans le passé un emblème et des photos et ces documents ont été enregistrés le 18 février 2011 sous le numéro 10.
Nagoum Yamassoum souligne en outre qu’il est vrai que Yorongar Narlejy a produit après coup l’emblème et les photos. Mais, la loi dont il est l’auteur n’as pas prévu de session de rattrapage, même pour ceux qui prétendaient en ignorer la paternité « dura lex, sed lex ».
Madjiadoum Mbaïndiguim Omer
Il faut reconnaitre que le Tchad vas de mal en pir.ecoutez dans quel pays il n’ya pas la session de rattrapage?comme Yorongar est un promoteur de la féderation et on viens de parler de la federation,alors qu’est ce qu’il faut faire?il faut rejeter sa candidature.veut ou pas il vas avoir en 2016 l’alternance.nous sommes dejà mûr nous les Tchadiens.