Par un communique de presse, le Collectif des Associations de Défense des Droits de l’Homme (CADH) se demande si les 16 mesures dites d’urgence ont réellement fait l’objet des échanges et de communication au sein du gouvernement et que chacune d’elle a été analysée en termes d’avantages pécuniaires et d’inconvénient. Le collectif demande au gouvernement de surseoir a toutes ces mesures dites d’urgence qui ont été prises de manière unilatérale selon le propre terme du communiqué, sans aucune consultation ; pour finir le collectif recommande de privilégier le dialogue social pour toutes les questions liées aux conditions de vie des populations.