Par un arrêté signé ce vendredi, le ministre de la Sécurité publique recadre le port d’armes à feu à N’Djamena.
Le ministre Souleyman Abakar indique que le port d’armes est « strictement » interdit dans la ville de N’Djaména. Les permis de port d’arme à feu et les badges, en cours de validité, sont également suspendus à partir du 11 décembre.
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Toutefois, sont exceptionnellement autorisés à porter l’arme à feu aux heures de travail : les gardes du corps du président Conseil militaire de transition (CMT), du vice-président du Conseil, du Premier ministre, du président du Conseil national de transition (CNT), les diplomates, généraux, ainsi que les magistrats.
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Sont aussi concernées par cette dérogation, les forces de défense et de sécurité en mission officielle ou en service commandé.