La cérémonie de dédicace du livre de l’ambassadeur, Mariam Mahamat Nour, a eu lieu, ce samedi 5 février. Intitulé “Aldjawhara, une fille du Sahel tchadien”, cet ouvrage autobiographique décrit le parcours de son auteure depuis ses origines jusqu’à 1999, date à laquelle, elle est entrée à l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao).
“Aldjawhara, une fille du Sahel tchadien” est le livre écrit par Mariam Mahamat Nour. Il est le premier tome d’une série. Un livre de 337 pages, subdivisé en quatre chapitres, publié par les Maisons Al – Mouna et L’Harmattan, en novembre 2021.
Dans un environnement marqué par l’attachement à la culture, aux valeurs traditionnelles et par un code ancestral qui réserve un sort prédestiné à la femme, ce livre est une contribution au débat récurrent sur l’émancipation de la femme.
L’auteure préfère le style simple pour faire voyager le lecteur dans sa vie, la vie de son village natal Bili, de Bokoro, en passant par son adolescence et sa vie professionnelle.
Elle y décrit toutes ses pérégrinations dans le cadre de sa carrière professionnelle jusqu’aux hautes fonctions qu’elle a assumées ici au pays tout comme à l’international.
Le livre “Aldjawhara, une fille du Sahel tchadien ” qui est le tome I d’une série, commence par la naissance de l’auteure, ses origines et ses grands-parents jusqu’à sa nomination comme Représentante de la FAO au Togo.
L’ouvrage est structuré en quatre grands chapitres de tailles inégales
• Chapitre 1 : De mon pays et mes origines (pages 19 à 56), 37 pages.
- Chapitre 2 : De mon enfance et de mon parcours scolaire et universitaire (pages 57 à 214), 157 pages.
• Chapitre 3 : De mon entrée dans la vie active dans une ONG puis dans l’administration publique (pages 215 à 238), 23 pages.
• Chapitre 4 : De ma carrière politique et des soubresauts qui s’y apparentent (pages 251 à 334), 83 pages.
Par conséquent, selon l’auteure, il s’agit d’un ouvrage qui pourra inspirer d’abord les jeunes à tous points de vue, puis tout citoyen désireux de se donner au travail bien fait pour son pays et pour la communauté internationale
D’une manière générale, indique Mariam Mahamat Nour, tout jeune africain en mal d’identité et en quête de repère pourra trouver des raisons de s’encrer dans sa culture, car un homme sans culture est comme un arbre.