La coalition des associations de la société civile pour l’action citoyenne (CASAC) constate avec regret, par un communiqué, les dégâts causés par des manifestants de la coalition Wakit-Tama.

Selon le chargé de communication de la CASAC, Hassan Moussa, ces dommages causés sur des paisibles citoyens et des sociétés étrangères ne sauraient s’expliquer si ce n’est pas “une rébellion en pleine capitale”. “Depuis plus d’un an, le Tchad est l’unique pays de la sous région qui autorise les marches pacifiques. Cela ne peut en aucune manière servir de prétexte pour s’en prendre à un pays ami”, s’est indigné le chargé de communication.

C’est pourquoi, poursuit-il, la CASAC appelle le peuple tchadien à la vigilance. Car, informe-t-il, certaines organisations en “accointance avec des officines étrangères ont des calendriers cachés pour annihiler la marche irréversible que connaît le Tchad”. La CASAC, appelle les citoyens à préserver la paix et la stabilité au Tchad. “Nul ne peut se prévaloir qu’il sera épargné si la paix venait à être menacée. De toute évidence, la préservation de cette paix demeure pour ainsi dire, un devoir patriotique sacré”, alerte Hassan Moussa.

Par ailleurs, le chargé de communication de la CASAC interpelle le gouvernement à prendre toutes ses responsabilités. “Les actes posés par les acolytes de Wakit-Tama ne sauraient être impunis. Les initiateurs doivent impérativement assumer leur responsabilité conformément aux textes en vigueur”, insiste le communiqué.