Le maire de la ville de N’Djamena dit constater, à travers un communiqué, qu’en cette période de canicule, beaucoup de jeunes se retrouvent en masse au bord du fleuve chari, à la recherche de la fraîcheur.

Ce phénomène, poursuit le communiqué du maire, accentué durant le ramadan, n’est pas sans conséquence car “ce dernier temps plusieurs jeunes y ont laissé leur vie par noyade’’.

A cet effet, le bourgmestre invite les parents à empêcher leurs progénitures qui s’adonnent à cette pratique de se rendre au bord du fleuve.