Dans le souci de lutter contre le changement climatique, le projet ALBIA, a lancé ce matin, un atelier de démarrage de l’Etude de la planification des ressources en eau à l’intérieur et autour de la réserve de Ouadi Rimé et Ouadi Hachim.

L’enjeu de cet atelier est de rassembler tous les acteurs ayant un dénominateur commun, « l’eau et son usage ». Cette étude de la planification des ressources en eau à l’intérieur et autour de la réserve de Ouadi Rimé et Ouadi Hachim dont l’atelier de démarrage a lieu aujourd’hui, à N’Djamena, appuiera le système national de suivi des ressources en eau, l’évaluation des points d’eau existants et des points de mesure en réseau piézométrique, sur la base des différents résultats, voudrait laisser comprendre le coordonnateur du projet ALBIA, Tahir Brahim Adouma.

Aussi, cette étude permettra de prendre en compte l’aspect de télédétection et de géophysique pour la localisation des forages de reconnaissance. Elle « permettra à la Banque Mondiale, à travers des opérations, d’orienter un peu ses activités dans la question de la gestion des ressources en eau », annonce Halimé Mahamat Hissein, représentante de la Banque Mondiale à cet atelier.

Il faut savoir que cette étude sera mise en œuvre par le projet ALBIA qui est un projet de développement local et d’adaptation aux changements climatiques, visant l’amélioration de la gestion des ressources naturelles et des moyens d’existence des populations vulnérables à l’intérieur et autour de la réserve de Ouadi Rimé et Ouadi Hachim.