Le centre de recherche en anthropologie et sciences humaines (CRASH), en partenariat avec ACRA a lancé, ce 5 octobre, son programme d’octroi de bourses Universitaires en  master 2.

Pour l’année universitaire 2022-2023, la fondation ACRA et CRASH offrent 13 bourses d’études universitaires dont 7 étudiantes et 6 étudiants pour le Master 2 des universités publiques et privées, cette offre leur permettra de mener à bien leurs recherches sur le terrain et à mieux rédiger leurs mémoires, selon Dr Djimet Seli, directeur administratif du CRASH.

Les bourses universitaires concernent les disciplines suivantes : l’anthropologie , la sociologie, le droit, la géographie humaine, la science politique/ droit humain et la communication sociale.

Le dépôt de candidature est ouvert le 3 octobre 2022 et sera clôturé le 24 octobre 2022 à 15 heure, heure locale.  «  Les dossiers de candidatures en langue  comportant une pièce d’identité légalisée, un curriculum-vitae, une lettre de motivation, une attestation de licence, une preuve d’inscription en master 2 dans une université publique ou privée du Tchad, un projet de recherche portant un chronogramme des activités, peuvent être envoyés uniquement par courrier électronique à l’adresse crash.tchad@gmail.com », précise Dr Djimet Seli.

D’après Dr Djimet Seli, ces bourses s’inscrivent dans le cadre des activités traditionnelles que mènent le centre de recherche en anthropologie et sciences humaines avec ses partenaires.  Grâce à des activités de coopération et de développement à grande échelle en Afrique et ailleurs, renchérit-t-il, ACRA se force de favoriser la croissance d’écosystèmes dynamiques, propices à l’innovation et pouvant être de puissants moteurs de changement. Elle travaille en étroite collaboration avec le CRASH qui est un laboratoire de recherche pluridisciplinaire qui a pour but de promouvoir la recherche en anthropologie et sciences humaines pour le développement du Tchad. Depuis sa création, CRASH et d’autres partenaires mènent la lutte contre la violence basée sur le genre et le défi de la crise oubliée au Tchad.

Mariam Mahamat Abakar, stagiaire