Titulaire d’une licence en géographie, Nerondouba Manassé passe son temps à fabriquer des fourneaux communément appelés “ganoune”.

1 500 voire 10 000f, tel est le prix que Nerondouba Manassé fixe pour un ”ganoune”. A défaut de se faire embaucher, il se débrouille avec cette activité.

Selon lui, l’on ne doit pas seulement attendre du gouvernement. Raison pour laquelle l’idée de fabriquer de fourneau lui est venue à l’esprit.

La vingtaine a l’opportunité de partager ce savoir-faire avec ses amis vivant la même situation que lui. Le travail à faire est pénible, et les matériaux sont aussi rares. De côté, la Police municipale ne leur fait pas cadeau avec des taxes. L’entrepreneur en herbe sollicite l’aide du gouvernement pour élargir ses affaires.