Le greffier du conseil supérieur des affaires islamiques (CSAI), Abdelaziz Abrass a tué ce matin, aux environs de 9heures, dans les locaux du CSAI sis au quartier Amriguebé, un jeune d’une vingtaine d’année.
Selon les riverains, le greffier bourreau a tiré 6 balles sur sa victime. « C’est une affaire qui concerne le versement d’argent. Le greffier détient l’argent du jeune homme et il ne veut pas donner. Le jeune homme se trouvant dans un besoin pressant multiplie les va-et-vient. Le greffier, agacé de voir le jeune homme se pointer devant son bureau chaque jour, dégaine son arme et lui tire dessus.»
Le greffier a pris fuite. Le procureur de la République est descendu sur les lieux pour constater les faits et a ordonné d’amener le corps à la morgue.
Ngamsou Ham
Tels que les faits sont racontés pouvaient-ils permettre au criminels de commettre son forfait. Perplexité
Youssouf Mahamat Moumine
C’est un acte moyen ageux qui fait la honte de ceux qui entretienent l’acharchie au détriment de la loi. Que la justice soit faite et que le coupable paie pour son crime audieux commis sur un pauvre tchadien innocent .
Issa Seid gamarga
C’est acte contraire à sa fonction de greffier. Il faut qu’il soit sévèrement puni. Il lui faut une sanction exemplaire, proportionnelle. Comment se fait il qu’il trouve en détention d’une arme dans les locaux. Il commet un crime avec des circonstances aggravantes.
Paix à l’âme du défunt. Mes condoléances à toute la famille
Ahmat Haroun Larry
Voilà le débat qui commence nous somme égaux dans une République laïque . selon la constitution la séparation de l’État et la religion et sur quelle base le CSAI juge les citoyens ? Le greffier pour quoi cette justice en dehors de celui de la république ?
abdelatif adoum saleh
Commentaire vraiment ce honteux le défunt réclame ses bien et il se retrouve mort que le bon Dieu luis ouvre les portes du paradis