ÉDUCATION – Au total 15 136 candidats composent ce vendredi, 21 juin, le concours national d’entrée dans les établissements techniques.

A N’Djaména, ce sont 1 300 candidats dont 207 filles qui composent le concours d’entrée en seconde technique, commerciale et industrielle. C’est le représentant du délégué général du gouvernement,  Abgoudja Hamis qui a lancé les épreuves, au lycée technique commercial.

Parmi les candidats, pour certains à l’exemple de Dénéréguenodji, « c’est un rêve d’enfance d’étudier au lycée technique commercial ». Assis juste derrière l’une des salles d’examen, Jules croit qu’un concours est une question de chance. « En ce qui me concerne, je me suis bien préparé donc j’attends seulement les sujets qui me seront donnés… comme c’est un concours, on n’est pas sûr d’être retenu », dit-il.

L’année 2018-2019 doit être une chance de réussite

A la différence de l’année scolaire 2017-2018 qui a été marquée par des longues grèves, la présente année académique doit permettre aux élèves de se sentir à l’aise durant toutes les épreuves. « L’année qui s’achève est une année particulière, une année sans grève », déclare le délégué provincial à l’enseignement et à la jeunesse, Doungouss Abraye.

Les candidats n’ont pas droit à l’erreur                     

Les enseignants n’ont ménagé aucun effort pour transmettre les savoirs aux élèves pendant neuf mois, sans perturbation. Les candidats qui composent ce concours ont la responsabilité de ne pas trahir ces derniers. « Vous devez être calmes et sereins afin d’aborder les épreuves qui vous seront présentées », instruit Doungouss Abraye.