La problématique du financement du secteur privé est au centre des préoccupations des experts qui ont pris part à la Semaine nationale de réflexion sur la contribution du secteur privé à la relance économique. Dans ce sens, un atelier sous le thème « financement du secteur privé » a été organisé ce jeudi 04 octobre à la salle présidentielle du palais du 15 janvier.

Après avoir fait un état de lieu sur la situation du secteur privé au Tchad, les experts, dans leurs exposés s’accordent presque tous, sur le climat des affaires qui n’encourage pas les investisseurs à soutenir le secteur privé. Il y a également, un manque de culture financière et boursière, ainsi que des risques sur les plans juridique, politique, institutionnel etc.

Eu égard à ces difficultés, les experts proposent des solutions pour outiller les entrepreneurs sur la conduite à tenir dans la recherche de financement et aussi pour mettre en confiance les bailleurs  vis-à-vis des demandeurs de financement.

  1. Le Fonds souverain d’investissement stratégique

C’est un fonds qui est créé par le gouvernement de manière souveraine et qui lui permet de faire des investissements stratégiques dans son pays pour financer les activités stratégiques de l’économie.  Ce fonds va fonctionner comme une banque mais qui sera une entité distincte de l’Etat. Le fonds souverain peut soutenir les entrepreneurs ayant un bilan crédible, un bon business plan et un bon projet. « En ce moment l’entrepreneur peut aller au niveau  de ce fond pour bénéficier d’un appui qui peut venir en complément de l’appui qu’il peut obtenir d’une banque » souligne Dr Naimbayel Djekonde, expert dans le domaine des finances.

  1. La Finance Islamique

C’est une finance éthique adossée sur la jurisprudence islamique. « Elle tire ses sources du coran et des Hadiths » définit Seifadine Moustapha, Directeur Général de la Banque islamique Safi.  C’est une finance qui est dans la sphère de la finance globale mais qui est basée sur les principes de la religion musulmane. Cette forme de finance, au-delà de ses critères et ses produits, va jouer un rôle d’intermédiaire financier qui consiste à collecter de l’épargne pour mettre à la disposition des demandeurs de crédits.

  1. Les financements classiques et innovants

Le partenariat public-privé, le financement participatif qui est le fait de financer son projet auprès de la foule via des plateformes, la levée de fonds, ouverture du capital (actions), marché des obligations, le guichet des Banques multilatérales (BAD, BDEAC), la ligne de financement de fonds garantis sont entre autres les autres formes de financement.

  1. Des mesures à prendre pour faciliter l’accès au financement

Pour faciliter l’accès au financement, il faut une politique en faveur de la bancarisation, des campagnes de sensibilisation, la facilitation de la délivrance des pièces d’identité. Il importe également d’encourager les banques à étendre leur réseau, sans oublier la création des structures de soutien des PME. Enfin, il faut rassurer les investisseurs en atténuant les risques financiers et assainir le climat des affaires.

La problématique du financement du secteur privé est au centre des préoccupations des experts qui ont pris part à la Semaine nationale de réflexion sur la contribution du secteur privé à la relance économique. Dans ce sens, un atelier sous le thème « financement du secteur privé » a été organisé ce jeudi 04 octobre à la salle présidentielle du palais du 15 janvier.

Après avoir fait un état de lieu sur la situation du secteur privé au Tchad, les experts, dans leurs exposés s’accordent presque tous, sur le climat des affaires qui n’encourage pas les investisseurs à soutenir le secteur privé. Il y a également, un manque de culture financière et boursière, ainsi que des risques sur les plans juridique, politique, institutionnel etc.

Eu égard à ces difficultés, les experts proposent des solutions pour outiller les entrepreneurs sur la conduite à tenir dans la recherche de financement et aussi pour mettre en confiance les bailleurs  vis-à-vis des demandeurs de financement.

  1. Le Fonds souverain d’investissement stratégique

C’est un fonds qui est créé par le gouvernement de manière souveraine et qui lui permet de faire des investissements stratégiques dans son pays pour financer les activités stratégiques de l’économie.  Ce fonds va fonctionner comme une banque mais qui sera une entité distincte de l’Etat. Le fonds souverain peut soutenir les entrepreneurs ayant un bilan crédible, un bon business plan et un bon projet. « En ce moment l’entrepreneur peut aller au niveau  de ce fond pour bénéficier d’un appui qui peut venir en complément de l’appui qu’il peut obtenir d’une banque » souligne Dr Naimbayel Djekonde, expert dans le domaine des finances.

  1. La Finance Islamique

C’est une finance éthique adossée sur la jurisprudence islamique. « Elle tire ses sources du coran et des Hadiths » définit Seifadine Moustapha, Directeur Général de la Banque islamique Safi.  C’est une finance qui est dans la sphère de la finance globale mais qui est basée sur les principes de la religion musulmane. Cette forme de finance, au-delà de ses critères et ses produits, va jouer un rôle d’intermédiaire financier qui consiste à collecter de l’épargne pour mettre à la disposition des demandeurs de crédits.

  1. Les financements classiques et innovants

Le partenariat public-privé, le financement participatif qui est le fait de financer son projet auprès de la foule via des plateformes, la levée de fonds, ouverture du capital (actions), marché des obligations, le guichet des Banques multilatérales (BAD, BDEAC), la ligne de financement de fonds garantis sont entre autres les autres formes de financement.

  1. Des mesures à prendre pour faciliter l’accès au financement

Pour faciliter l’accès au financement, il faut une politique en faveur de la bancarisation, des campagnes de sensibilisation, la facilitation de la délivrance des pièces d’identité. Il importe également d’encourager les banques à étendre leur réseau, sans oublier la création des structures de soutien des PME. Enfin, il faut rassurer les investisseurs en atténuant les risques financiers et assainir le climat des affaires.

La problématique du financement du secteur privé est au centre des préoccupations des experts qui ont pris part à la Semaine nationale de réflexion sur la contribution du secteur privé à la relance économique. Dans ce sens, un atelier sous le thème « financement du secteur privé » a été organisé ce jeudi 04 octobre à la salle présidentielle du palais du 15 janvier.

Après avoir fait un état de lieu sur la situation du secteur privé au Tchad, les experts, dans leurs exposés s’accordent presque tous, sur le climat des affaires qui n’encourage pas les investisseurs à soutenir le secteur privé. Il y a également, un manque de culture financière et boursière, ainsi que des risques sur les plans juridique, politique, institutionnel etc.

Eu égard à ces difficultés, les experts proposent des solutions pour outiller les entrepreneurs sur la conduite à tenir dans la recherche de financement et aussi pour mettre en confiance les bailleurs  vis-à-vis des demandeurs de financement.

  1. Le Fonds souverain d’investissement stratégique

C’est un fonds qui est créé par le gouvernement de manière souveraine et qui lui permet de faire des investissements stratégiques dans son pays pour financer les activités stratégiques de l’économie.  Ce fonds va fonctionner comme une banque mais qui sera une entité distincte de l’Etat. Le fonds souverain peut soutenir les entrepreneurs ayant un bilan crédible, un bon business plan et un bon projet. « En ce moment l’entrepreneur peut aller au niveau  de ce fond pour bénéficier d’un appui qui peut venir en complément de l’appui qu’il peut obtenir d’une banque » souligne Dr Naimbayel Djekonde, expert dans le domaine des finances.

  1. La Finance Islamique

C’est une finance éthique adossée sur la jurisprudence islamique. « Elle tire ses sources du coran et des Hadiths » définit Seifadine Moustapha, Directeur Général de la Banque islamique Safi.  C’est une finance qui est dans la sphère de la finance globale mais qui est basée sur les principes de la religion musulmane. Cette forme de finance, au-delà de ses critères et ses produits, va jouer un rôle d’intermédiaire financier qui consiste à collecter de l’épargne pour mettre à la disposition des demandeurs de crédits.

  1. Les financements classiques et innovants

Le partenariat public-privé, le financement participatif qui est le fait de financer son projet auprès de la foule via des plateformes, la levée de fonds, ouverture du capital (actions), marché des obligations, le guichet des Banques multilatérales (BAD, BDEAC), la ligne de financement de fonds garantis sont entre autres les autres formes de financement.

  1. Des mesures à prendre pour faciliter l’accès au financement

Pour faciliter l’accès au financement, il faut une politique en faveur de la bancarisation, des campagnes de sensibilisation, la facilitation de la délivrance des pièces d’identité. Il importe également d’encourager les banques à étendre leur réseau, sans oublier la création des structures de soutien des PME. Enfin, il faut rassurer les investisseurs en atténuant les risques financiers et assainir le climat des affaires.

La problématique du financement du secteur privé est au centre des préoccupations des experts qui ont pris part à la Semaine nationale de réflexion sur la contribution du secteur privé à la relance économique. Dans ce sens, un atelier sous le thème « financement du secteur privé » a été organisé ce jeudi 04 octobre à la salle présidentielle du palais du 15 janvier.

Après avoir fait un état de lieu sur la situation du secteur privé au Tchad, les experts, dans leurs exposés s’accordent presque tous, sur le climat des affaires qui n’encourage pas les investisseurs à soutenir le secteur privé. Il y a également, un manque de culture financière et boursière, ainsi que des risques sur les plans juridique, politique, institutionnel etc.

Eu égard à ces difficultés, les experts proposent des solutions pour outiller les entrepreneurs sur la conduite à tenir dans la recherche de financement et aussi pour mettre en confiance les bailleurs  vis-à-vis des demandeurs de financement.

  1. Le Fonds souverain d’investissement stratégique

C’est un fonds qui est créé par le gouvernement de manière souveraine et qui lui permet de faire des investissements stratégiques dans son pays pour financer les activités stratégiques de l’économie.  Ce fonds va fonctionner comme une banque mais qui sera une entité distincte de l’Etat. Le fonds souverain peut soutenir les entrepreneurs ayant un bilan crédible, un bon business plan et un bon projet. « En ce moment l’entrepreneur peut aller au niveau  de ce fond pour bénéficier d’un appui qui peut venir en complément de l’appui qu’il peut obtenir d’une banque » souligne Dr Naimbayel Djekonde, expert dans le domaine des finances.

  1. La Finance Islamique

C’est une finance éthique adossée sur la jurisprudence islamique. « Elle tire ses sources du coran et des Hadiths » définit Seifadine Moustapha, Directeur Général de la Banque islamique Safi.  C’est une finance qui est dans la sphère de la finance globale mais qui est basée sur les principes de la religion musulmane. Cette forme de finance, au-delà de ses critères et ses produits, va jouer un rôle d’intermédiaire financier qui consiste à collecter de l’épargne pour mettre à la disposition des demandeurs de crédits.

  1. Les financements classiques et innovants

Le partenariat public-privé, le financement participatif qui est le fait de financer son projet auprès de la foule via des plateformes, la levée de fonds, ouverture du capital (actions), marché des obligations, le guichet des Banques multilatérales (BAD, BDEAC), la ligne de financement de fonds garantis sont entre autres les autres formes de financement.

  1. Des mesures à prendre pour faciliter l’accès au financement

Pour faciliter l’accès au financement, il faut une politique en faveur de la bancarisation, des campagnes de sensibilisation, la facilitation de la délivrance des pièces d’identité. Il importe également d’encourager les banques à étendre leur réseau, sans oublier la création des structures de soutien des PME. Enfin, il faut rassurer les investisseurs en atténuant les risques financiers et assainir le climat des affaires.

La problématique du financement du secteur privé est au centre des préoccupations des experts qui ont pris part à la Semaine nationale de réflexion sur la contribution du secteur privé à la relance économique. Dans ce sens, un atelier sous le thème « financement du secteur privé » a été organisé ce jeudi 04 octobre à la salle présidentielle du palais du 15 janvier.

Après avoir fait un état de lieu sur la situation du secteur privé au Tchad, les experts, dans leurs exposés s’accordent presque tous, sur le climat des affaires qui n’encourage pas les investisseurs à soutenir le secteur privé. Il y a également, un manque de culture financière et boursière, ainsi que des risques sur les plans juridique, politique, institutionnel etc.

Eu égard à ces difficultés, les experts proposent des solutions pour outiller les entrepreneurs sur la conduite à tenir dans la recherche de financement et aussi pour mettre en confiance les bailleurs  vis-à-vis des demandeurs de financement.

  1. Le Fonds souverain d’investissement stratégique

C’est un fonds qui est créé par le gouvernement de manière souveraine et qui lui permet de faire des investissements stratégiques dans son pays pour financer les activités stratégiques de l’économie.  Ce fonds va fonctionner comme une banque mais qui sera une entité distincte de l’Etat. Le fonds souverain peut soutenir les entrepreneurs ayant un bilan crédible, un bon business plan et un bon projet. « En ce moment l’entrepreneur peut aller au niveau  de ce fond pour bénéficier d’un appui qui peut venir en complément de l’appui qu’il peut obtenir d’une banque » souligne Dr Naimbayel Djekonde, expert dans le domaine des finances.

  1. La Finance Islamique

C’est une finance éthique adossée sur la jurisprudence islamique. « Elle tire ses sources du coran et des Hadiths » définit Seifadine Moustapha, Directeur Général de la Banque islamique Safi.  C’est une finance qui est dans la sphère de la finance globale mais qui est basée sur les principes de la religion musulmane. Cette forme de finance, au-delà de ses critères et ses produits, va jouer un rôle d’intermédiaire financier qui consiste à collecter de l’épargne pour mettre à la disposition des demandeurs de crédits.

  1. Les financements classiques et innovants

Le partenariat public-privé, le financement participatif qui est le fait de financer son projet auprès de la foule via des plateformes, la levée de fonds, ouverture du capital (actions), marché des obligations, le guichet des Banques multilatérales (BAD, BDEAC), la ligne de financement de fonds garantis sont entre autres les autres formes de financement.

  1. Des mesures à prendre pour faciliter l’accès au financement

Pour faciliter l’accès au financement, il faut une politique en faveur de la bancarisation, des campagnes de sensibilisation, la facilitation de la délivrance des pièces d’identité. Il importe également d’encourager les banques à étendre leur réseau, sans oublier la création des structures de soutien des PME. Enfin, il faut rassurer les investisseurs en atténuant les risques financiers et assainir le climat des affaires.