La photographie est l’un des moyens qui permet d’immortaliser une histoire, un moment ou un souvenir. Depuis l’ouverture du dialogue national inclusif et souverain, le 20 août, les photographes professionnels, chasseurs d’images, se bousculent pour faire du business.

Le caractère inclusif et souverain du dialogue s’est illustré sur le terrain. Il y a des participants qui discutent de l’avenir du pays et il y a aussi d’autres qui font leurs affaires à côté. C’est le cas des photographes qui chassent les images afin de les vendre.

Bachir Komeng Onesime, photographe professionnel, avoue que par jour, il réalise un bon chiffre d’affaire. “Dieu merci, je rentre avec pas moins de 30.000 FCFA par jour”, dit-il.

“Nous avons le format 13×18, à 10 000F, le format 30×40, à 20.000F, le format 30×40, à 30.000F, le format 50×70, à 50.000F…” précise Bachir, un autre photographe.