Le participant au DNIS, Hassan Adoum Bakhit, lors de son intervention sur la distribution des richesses, a taclé le gouvernement sur la question d’octroi des marchés publics.

Pour ce dernier,  “la distribution des richesses passe par la transparence dans l’octroi des marchés publics, des appels d’offres et des projets par gré à gré”. Il estime que malheureusement, ce n’est pas le cas. Souvent, les marchés publics sont donnés aux parents qui souvent, n’ont aucune expérience dans le domaine d’où le mauvais travail effectué après l’octroi de ce marché.

“Si aujourd’hui, vous vous promenez à travers tout le pays, vous voyez que des éléphants blancs. Des chantiers qui ne sont jamais achevés depuis des années. Les ressources dégagées pour la cause ont été utilisées pour soit se marier, soit acheter une maison ou à d’autres fins que l’intérêt public. Elles ne sont pas parties dans la direction du projet conçu”, déplore Hassan Adoum Bakhit.

Poursuivant son raisonnement, il indique que beaucoup de participants sont dans la salle que par leur présence physique et cela, pour émarger à cause des perdiems mais qu’en réalité, ils sont sur leurs téléphones en train de bavarder sur les réseaux sociaux et cela est dommageable pour le DNIS.