Les travaux du dialogue national ont repris ce lundi avec l’examen de certains sujets de la thématique No 2 que la commission ad hoc n’a pas pris en compte. Parmi ces sujets, il y a les questions électorales.

Alors que la parole à d’abord été accordée aux chefs des partis politiques, certains d’entre eux ont proposé que ce soit un leader religieux qui préside la Commission électorale nationale indépendante (dont certains demandent de changer le nom, car CENI rime avec fraude à leur avis).

La nomination d’un leader religieux à la tête de l’organe de gestion des élections permettrait, selon ces acteurs politiques, d’éviter les contestations liées à la fraude.