Beaucoup de responsables de partis politiques participants au dialogue national plaident pour leur chapelle en demandant notamment l’augmentation et la paie régulière de la subvention de l’État.

Mais ce n’est pas du tout l’avis d’Assileck Halata, vice-président et porte-parole de l’UFDD, mouvement signataire de l’accord de Doha. Pour lui, plus de 200 partis pour le Tchad, c’est trop. Il estime en outre que la politique n’est pas du commerce pour que l’État débourse de grosses sommes pour le fonctionnement des partis. De l’argent qui, à son avis, peut être orienté ailleurs, par exemple pour offrir de l’eau à la population, des soins de santé, etc.