Les participants au dialogue national débattent en ce moment sur le projet d’agenda. Le présidium a prévu la fin des travaux d’ici le 5 octobre. Pour tenir ce délai, il a proposé de donner la parole par corporation afin d’aller vite.
Une proposition que rejettent certains participants. L’un d’eux a déclaré que le dialogue est éminemment politique et qu’il faut laisser chaque parti politique s’exprimer. Un autre a affirmé qu’il faut laisser les gens débattre librement, même si le dialogue doit être prolongé. Pour lui, le plus important c’est que la souveraineté du dialogue soit respectée.