Depuis la propagation du coronavirus, les commerces des dispositifs d’hygiènes sont florissants. Une aubaine pour les vendeurs des seaux et bassines qui se placent partout dans la ville.

L’avènement du coronavirus a permis le développement d’un ‘’business juteux’’. Les commerçants ont bien compris que les récipients en plastique peuvent être pratiques pour les lavages des mains. Jadis utilisé pour des besoins ménagers, depuis la menace du Covid-19 certaines dispositifs d’hygiènes font partie des produits essentiels. Il s’agit des bassines ou des seaux en plastique disposant d’un robinet pour les lavages des mains.

Les prix des récipients en plastique a grimpé d’un coup. Ils varient entre 9000f, 8000f et 5500f. « Les prix varient en fonction de la forme et le nombre de litre que ça peut contenir » nous dit un commerçant. Pour fabriquer un lavoir, il faut un seau et un robinet. « Les commerçants ont augmenté le prix à cause de la demande. Le simple robinet qu’on achetait à 2500 est maintenant vendu à 3500 » continue-t-il.

Les lavoirs se vendent ces derniers temps comme des pains sur les artères de la ville. Ils sont placés devant les boutiques, les administrations publiques, les ménages…. La forte demande permet aux vendeurs d’enregistrer un bénéfice de 500f à 1000f par jour.