Campus France Tchad, plateforme d’information et d’orientation pour les étudiants tchadiens désirant étudier en France, a organisé le 24 janvier, une journée portes ouvertes à l’intention des hommes des médias et créateurs de contenus web, pour informer plus sur son espace.

L’objectif de cette journée portes ouvertes à l’intention des hommes des médias, selon les responsables de Campus France Tchad, est de fournir à ces derniers, des informations fiables à vulgariser auprès du public, surtout les jeunes bacheliers et étudiants désirant étudier dans les meilleures universités en France.

Campus France Tchad permet de guider les jeunes vers des informations fiables et de les aider à produire un bon dossier de candidature pour ainsi multiplier les possibilités d’être admis dans une université française“, informent les responsables de la plateforme. Campus France Tchad, selon eux, permet aussi aux jeunes tchadiens de participer à un certain nombre d’évènements tels que les ateliers d’écriture des lettres de motivation, à partager des témoignages personnels et le retour d’expérience.

Selon la responsable de Campus France Tchad, la procédure de candidature se réalise en ligne sur la plateforme « études en France », de façon totalement dématérialisée. Pour les responsables, on distingue deux modes de candidature. Le premier appelé “parcours classique“, concerne la très grande majorité des candidats. “La candidature est faite complètement via la plateforme étude en France. Cela concerne les détenteurs des diplômes tels que la licence ou le master. La plateforme met en lien le candidat et les établissements supérieurs français qui sélectionnent en ligne les candidats retenus“, expliquent-ils.

Le deuxième mode est le parcours “pré-consulaire“, où l’admission est obtenue directement auprès de l’établissement qui fournit une attestation d’admission à télécharger dans le dossier du demandeur. “Il s’agit de tous les établissements privés, qui pour la majorité ne délivrent pas de diplômes reconnus par le ministère français de l’Enseignement Supérieur mais des diplômes enregistrés auprès des chambres de commerce avec une équivalence de niveau“, poursuivent-ils.