Ce mercredi 27 novembre 2024, la première édition du Salon de l’Orientation, de la Formation et des Technologies (SOFT) s’est tenue sous le parrainage du ministère de l’Education au Centre National de Recherche pour le Développement (CNRD). Cet événement, organisé par SOFT en collaboration avec l’Association tchadienne pour l’orientation et la citoyenneté active (ASTOC), a attiré un large public composé de jeunes, d’experts et de professionnels du secteur.
Les participants ont eu l’occasion de prendre part aux différents panels animés par des intervenants de renom, abordant des thématiques allant de l’importance de l’orientation professionnelle à l’impact des technologies dans le domaine de l’éducation et de la formation. Les échanges ont permis aux jeunes de poser des questions et de bénéficier de conseils pratiques pour leur avenir professionnel.
Dans son discours, Adam Mbodou, Président de l’ASTOC, souligne que le monde évolue rapidement, notamment à cause de l’intelligence artificielle qui transforme les emplois et redéfinit les compétences requises. Il évoque également les défis environnementaux qui nécessitent des solutions innovantes. Il met en avant la jeunesse tchadienne comme l’avenir et l’espoir du pays, en posant la question : comment rêver grand sans connaître ses opportunités ? Pour y répondre, il annonce que c’est la raison de la création du SOFT.
Le Président de l’ASTOC présente les offres de ce salon aux jeunes qui, selon lui, est un espace pour découvrir, apprendre, se connecter et s’inspirer. Il indique que cette première édition se distingue par des stands interactifs, des démonstrations technologiques et des plateformes immersives, transformant le salon en une véritable aventure. Des conférences inspirantes seront animées par des experts et des jeunes talents partageant leurs expériences. “L’événement met également l’accent sur l’innovation avec des ateliers pratiques et des défis technologiques.” Il souligne aussi l’engagement pour l’inclusion, affirmant que le SOFT est accessible à tous, qu’ils soient étudiants, entrepreneurs ou sans emploi,” confie-t-il.