Le collectif des avocats des leaders de la coordination des actions citoyennes Wakit Tamma, arrêtés après la marche du 14 mai, n’entend pas collaborer avec la justice. «Ni les prévenus, ni leurs conseils ne vont collaborer à un simulacre de procès, si l’audience venait à se tenir effectivement le 6 juin 2022 ». Pour eux, c’est face à cette “justice aux ordres, ne présentant aucune garantie d’un procès équitable”, qu’ils sont obligés d’opposer un boycott.