67 personnes arrêtées à l’occasion de la marche violemment réprimées du 20 octobre 2022 contre la prolongation de la transition viennent d’être graciés par le chef de l’État, Mahamat Idriss Déby. Ils ont été condamnés notamment pour “atteinte à l’ordre constitutionnel, participation à un mouvement insurrectionnel, attroupement non autorisé, assassinat, coups et blessures volontaires, incendie volontaire, destruction de biens”.
A noter que 255 autres personnes condamnées dans le même cadre ont été déjà graciées il y a deux mois.