Ouverture hier lundi 20 mars d’un atelier de formation organisé par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) sur la gestion intégrée de la production et de la protection des cultures horticoles à l’hôtel mercure de N’Djamena.

C’est dans le cadre du projet dénommé « la sécurité alimentaire renforcée en milieu urbain en Afrique centrale grâce  à une meilleure  disponibilité  de la nourriture produite localement » que ladite formation se tient du 20 au  24 mars prochain.

Présidant la cérémonie d’ouverture, le secrétaire général adjoint du ministère de la production, de l’irrigation et des Équipements agricoles Kagne Pombe a déclaré aux participants qu’il compte sur leur engagement pour donner dans les jours à venir un nouvel essor au développement du système de culture économique rentable, socialement acceptable, durable respectueux de l’environnement et de la santé des consommateurs.

Selon Mamadou Mansour Ndiaye, représentant de la FAO au Tchad, l’objectif de l’atelier  est de  promouvoir auprès  des principaux acteurs impliqués dans l’encadrement technique du projet, les actions de sensibilisation  en faveur d’une organisation intégrée de la production  horticole dans les divers sites  de chaque  composante  pays du projet et ainsi  renforcer les capacités de gestion  des principales contraintes biotiques recensées  dans les différents systèmes de productions à l’échelle des pays.

Le projet entre dans le cadre de l’atteinte des objectifs  de développement durable (ODD) à l’horizon 2030. Les participants sont du Cameroun, du Congo,  du Gabon, de  la Guinée équatoriale, de Sao Tomé et Principe et  du Tchad.