Le taux des accidents de circulation routière est de plus en plus élevé dans notre capitale, à cause des règles fondamentales nécessaire à la circulation routière qui sont la connaissance des codes de la route, la lecture de la circulation, et la maturité dans la conduite.

La majeure partie des conducteurs d’automobile ou des engins à deux roues de la capitale tchadienne ne prennent pas la moindre peine d’apprendre les règles nécessaire à la circulation urbaine. C’est ainsi qu’on constate la violation permanente des feux rouges, les virages à 60 km/h tel qu’un ambulancier, sans oublier les flagrantes traversées sans le moindre détour, etc. Ce sont des situations qui résultent du non passage dans les écoles spécialisées en la matière.

La deuxième catégorie d’ignorance que connaissent les N’Djaménois est celle relative à la question de la lecture de la circulation. Certes, nous convenons avec le conducteur qu’il peut se trouver dans ses droits, mais il doit aussi savoir que celui qui s’est déjà engagé en premier est prioritaire en matière de la circulation. C’est souvent ainsi que certains conducteurs se croyant dans leur droit parviennent à ramasser à leur passage d’autres prioritaires.

La dernière catégorie des causent d’accident de circulation routière est celle qui découle de la maturité du conducteur, car on peut être âgé, mais pas assez matures. C’est souvent le cas de nos conducteurs, et comme le dit un adage « l’enfance est partie, mais l’enfantillage est restée », parce que ce sont les conducteurs qui se conduisent totalement comme des enfants vues leurs agitations et raisonnements. Pour un rien, ils sont prêts à se battre comme des animaux dans de petites disputes résultant de la circulation. On doit révolutionner ces mentalités pour qu’il y ait une amélioration.